Dans un article du journal « la Provence » du
16 avril 1998, d’intéressantes perspectives sont
ouvertes aux hommes consommateurs de tomates :
Pendant de longues années la tomate eut une réputation
sulfureuse, comme la truffe ; on lui prêtait de grandes
vertus aphrodisiaques. N’y aurait-il pas de fumée
sans feu ? Il est vrai que cette substance est présente
dans la prostate, dans les glandes surrénales et viriles
des messieurs.
Alors puisque les chercheurs le disent, laissons tranquilles
les braves rhinocéros et leurs cornes, et, mangeons
des tomates.
C’est plus sûr, et en plus,
c’est bien meilleur
au goût.
De nombreux chercheurs de plusieurs pays s’intéressent à une
substance que contient en abondance la tomate : le lycopène,
un pigment caroténoïde. Ce lycopène aurait au nombre de ses vertus de prévenir
le cancer de la prostate, de diminuer les risques d’infarctus
et d’entretenir la virilité masculine.
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